Votre personnage fantastique

POur vous aidé voici le miens :

Voici venir l'age d'or qui vit naitre Ilsée de Myorko au grande destin... Aujourd'hui écuyère dans le Krak de KAYLAHARD, sur les terres gelé Holtaris. Elle est unique en bien des domaines .. Unique car une elfe. Hors le royaume des elfes est bien au-delà des terres Gelée quelque part perdu sur les terres Occitan ...
Mais voici comment tou a commencer...
Par une matin de brume des paysans se rendant au champs entendirent les pleure des nourrissons. Il semblaient venir du mont Myoko, terre maudite pour ses pauvres gueux. Un homme, un pèlerin venus d'on ne sais ou monta toutefois sur le mont bravant la malédiction des lieux. Parmis les ruines d'un ancien temple, au pied d'une porte de pierre scelle, il trouva un nourrisson dans un panier en osier. pleurant et tentant de se dépêtrer de linge d'un grande finesse. L'enfant était une fille elfique. Il prit le bébé et l'emmena au village voisin ou une mère l'allaita tandis qu'il discuta avec le chef des lieux. personne ne voulait de ce bébé venus du pic maudit. Mais de bon cœur, le chef du village proposa au vieil homme de l'emmener chez les moines qui vivaient non loin de là.
Ainsi donc, le vielle homme partit avec l'enfant et en chemin lui donna un prénom, non elfique mais qui représentait toute la grâce de cette enfant au yeux si vif : Ilsée. Ilsée de Myorko.
Avec regret il céda l'enfant au moine qui tout de suite l'adoptèrent et la firent grandir chacun comme si elle était leur fille. Mais la jeune demoiselle se révéla bien vite turbulente et inapte a la vie monastique. Cumulant les bêtises et les chaparderi tous se demandait si elle avait sa place en se lieu de grande méditation. mais son grand cœur, sa soif de voir le monde les conduisirent a pensée qu'il tait plus judicieux pour elle d'être emmener dans une Krak de paladin. Ou son envie de justice serait trouvé un échos approprié en ses temps obscurcit par un mal étrange.
La jeune fille de 12 ans alors, fut confié a la plus fine lame du krak , Eon de Dolen.
Les année passèrent et un climat tendu se révéla entre les deux êtres. Ils ne se détestaient pas. Bien au contraire. l'amour avait naquit dans leur cœur. Hors il était une règle qu'aucun paladin et écuyer ne devait trahir.L'amour était prohibé entre le maitre et l'élève.
Mais Ilsée de son caractère fit tout et par une nuit, dans une petit village le serment et l'hymen furent rompus.
Les deux amants continuèrent de guerroyer dans le plus grand secret de leur amour. Jusqu'au jour ou la jalousie maladive d'un écuyer, Tristan, les trahirent. Soupçonneux de certain geste tendre il les suivit et quand il fut sur de ce qui se passaient dans la cellule de la jeune fille au sein même du Krak, il prévint le seigneur Laorn, grand paladin.
Les deux amants furent surpris et séparé. Au lendemain la jeune fille se vit être recluse un mois durant le temps de s'assurer qu'aucun fruit ne naissait dans ses entrailles et ne soit perdu lors d'un entrainement trop brutal et Eon de Dolen envoyer dans un autre krak, loin éloigné et inconnu de la jeune Ilsée.
C'est ici que comment ca son histoire, en se début de guerre sur les terres Holtaris, en compagnie de son nouveau maître, Solkalir, baron des terres brunes ; ignorante du destin de reine qui l'attendait.

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Voila c'est un peu précipité dans l'écriture mais un background n'a pas besoin de plus

Rien que par le nom c'est une belle race .... bon background

Quand le large sourire de l'aurore annonçait le zénith de l'équinoxe d'automne, naquit Aelïn Yaviëlindale, fille des seigneurs sylvestres des vieilles forêts du nord, et dont les augures avaient prédit sa naissance depuis des décennies. Mais de terribles visions noircissaient les instants de sa vie. Sa chevelure enflammée et son regard émeraude étaient d'un envoutement sans pareil, et sous les traits lisses de sa peau d'albâtre se cachait un âme torturée. Elle renfermait en son sein illusoire, des dons surprenants que trop lui jalousèrent. Grande solitaire, elle refusa le trône à la mort de ses pères, et partit errer dans les terres mortelles.
A ce jour, des murmures devenus rumeurs de légendes oubliées parle d'une noble assassin aux pouvoirs dévastateurs.
Mais personne ne sait vraiment où elle se trouve réellement ...

" Ma petite puce, je vais te raconter l'histoire de ta mamie. C'était une femme très brave. Elle n'est pas née Reine et n'avait pas le prénom qu'on lui connait aujourd'hui. Elle s'appelait juste Océane et était fille de paysans. Elle travaillait au chateau d'un vilain Seigneur quand elle a rencontré ton papi pour la première fois. Elle lui a sauvé la vie, et ils ne se sont quitté que lorsqu'il est allé rejoindre les étoiles. Elle a épousé le méchant Finwë, pour se sauver la vie certainement, et elle est devenue Reine. Mais ton papi lui avait laissé un souvenir dans le ventre et je suis née en cachette, j'ai été élevée avec ton papa.
- C'est vrai papa ?
- Oui ma puce, et je suis devenu très ami avec ta mamie, elle était très gentille, elle m'a appris beaucoup de chose. Et puis on s'est battu ensemble pour la liberté de nos Royaumes. Elle est morte pour nous sauver tous. Mais avant de mourir elle m'a demandé de veiller sur ta maman et c'est ce que j'ai fait ?
- C'est vrai maman ?
- Oui ma petite puce.
- Et vous êtes tombé amoureux tout de suite ?
- Ca ma chérie, c'est une autre histoire."


Bon voilààààààààà, SAliar, Gin, vous savez de quoi je parle, c'est d'Inwë, j'ai mis des spoilers je l'avoue!!!^^
Non, je sais que c'est pas une bonne présentation d'Inwë ça nous aide pas beaucoup sur elle mais c'est pas grave, c'était ce que j'avais envie de faire sur le moment, j'ai changé d'idée juste avant d'écrire d'ailleurs, ça aurait été beaucoup plus dramatique sinon....
Donc voilàààààààà
C'est pas top mais ça m'a fait bien rire d'imaginer les deux cocos avoir une fille.

Aaaaaaahhhhhhh Inwwweeeeeeeee ...... ILLLLLLLSSS OONNTT EEEEUUUUUUUUSSS DDDEESSSSS BBBEEEEEBBBBEEEEEEEEE !!!!!!!!!!!!!!
La bombe que tu nous lâche discrétement là ....

mais je vais me faire disputer par mon ex prof de français de prépa, parce qu'en fait, cette race serait plus immortelle qu'éternelle, immortel qualifiant plutôt les dieux païens, parce qu'ils ont une naissance, et donc ils n'ont pas toujours existé, alors qu'éternel qualifie plutôt les dieux des religions monothéiste, parce qu'ils ont toujours existé, ils n'ont ni fin ni commencement...

Ne chipoton pas et ne nous prenons pas la têtes sur la mythologie des mots. J'iame beaucoup " Eternel "

Kitsune, ton background et d'une grande beauté ^^ .. On n'en oublie presque l'histoire du personnage

Bon ! C'est pas parce que je n'ai plus le net chez moi que je ne pense pas à a semaine fantastique ! Je vous propose un petit texte écrit à l'arrache sur le lieu de mon boulot entre 12h et 14h Le contexte : ceux qui lisaient Crépuscule n'auront pas de mal à comprendre. La scène décrite se passe à la toute fin de l'histoire... donc gros Spoiler à l'horizon


Un hurlement de douleur s’échappa de mes lèvres. Il n’était pas du à la blessure suintante que je venais de recevoir, ni même aux brûlures provoquées par la fournaise environnante. Mortifiée, je fixai le corps de Lohan choir sur le sol qui s’imbibait déjà de son sang. Les premières larmes trempant mes joues, je ne faisais plus attention au brouhaha qui m’entourait. Je n’entendais plus les plaintes lancinantes d’Ikkar, faucon au plumage ambré volant au-dessus du champs de bataille. Je n’entendais plus le tintement cinglant des épées, ni même les cris de hargnes ou de souffrance de mes compagnons trépassant un à un sous la lame ennemie. La bataille n’avait plus d’importance à mes yeux. C’est moi qui aurait du recevoir le coup fatal. Il n’avait pas le droit de me voler mon combat. Mourir une seconde fois ne me faisait pas peur. Rageusement, je séchai mes joues d’un revers de la main et m’agenouillai auprès du cadavre. Je le pris dans mes bras et le retourna.

-« Crétin ! murmurai-je, l’étreignant fortement, tu n’avais pas le droit de m’abandonner de cette façon… »

Mes lèvres tremblantes l’embrassèrent une dernière fois. Puis soudain, je sursautai. Une tête avait atterrit à quelques centimètres de nous, suivie de près par son corps. Je reconnus de suite l’adversaire contre lequel je me battais quelques instants plus tôt et qui avait empalé involontairement l’homme de ma vie. Le regard perçant et exorbité d’Hel me fit tressaillir, ce qui me sortit aussitôt de ma léthargie. Une main enserra sans ménagement mon avant-bras, réveillant de cette manière la douleur de ma blessure à l’épaule. Pourtant, je refusai de me lever, préférant rester auprès de Lohan. On me secoua.

-« Loukaa ! Il est mort ! s’agaça Asktÿr, Sauve ta peau tant que tu le peux encore ! Encore heureux que je me trouvais à proximité ! »

Je compris qu’il venait de me sauver la vie en décapitant in extremis la souveraine des morts. Non sans regrets, je me décidai à le suivre. Autour de nous, l’incendie prenait de plus en plus d’ampleur, faisant disparaître la moindre trace de la bataille. Le cœur lourd, j’enjambai ou contournai compagnons et ennemis, parsemant de leurs cadavres l’Idavöll. D’une marche rapide, nous étions passée à une course effrénée. J’étais à bout de souffle, l’air devenant irrespirable. J’avais l’impression qu’où nous allions, le feu de la prophétie avait déjà pris possession des lieux. Je craignais que nos chances de survie ne soient vraiment minimes, et même absentes. Sentant une présence proche de moi, je m’arrêtai brusquement et leva mon regard vers le ciel. Je vis la silhouette d’Ikkar qui nous suivait, ne cessant de pousser des cris perçants. Je sentis tous mes espoirs s’envoler au même titre que mes dernières forces. Mes jambes meurtries vacillèrent et je n’eus d’autres choix que de m’agenouiller. Asktÿr me lança un regard dont je n’aurais su à ce moment déterminer le sentiment. Je savais simplement que je prenais conscience que mon aventure s’arrêtait ici et maintenant. J’avais échoué.

Ce fut la dernière pensée qui me revenait à cet instant. Debout sur la plus haute branche d’Yggdrasill qui avait par miracle survécu à l’incendie, j’observais le Ragnarök aux côtés d’Asktÿr. Asgardia avait totalement disparu, enseveli sous les flammes. Je sentis le bec d’Ikkar frôler affectueusement mon épaule bandée de feuillage de l’arbre divin. Les Nornes avaient prédit le Crépuscule des Dieux et nous en étions les survivants.

-« J’ai échoué… » soupirai-je tristement, caressant la tête du faucon.

-« Tu n’y peux rien. Aucun homme, aucun dieu ne peut contrecarrer le destin comme les prophéties. » me rassura Asktÿr.

Malgré tout, je ne pouvais m’empêcher de ressentir une sombre amertume. Je baissais les yeux, ne pouvant plus observer le paysage flamboyant. Etait-ce vraiment ma destinée de voir les gens que j’aime emporter par le Ragnarök ? Je savais très bien que personne ne pouvait contrôler son destin. J’avais accepté impudemment celui de Loukaa Vanädis. Femme sur qui tout un peuple avait fondé l’espoir de lever l’emprise de la Déesse de la Mort. Femme qui avait réussi à délivrer les Ases des geôles glaciales d’Helheim. Femme qui était parvenue à fédérer tous les clans asgardians et vanes et les mener à la bataille finale. Nous sommes tous les personnages d’une plume mystique qui écrit comme bon lui semble le fil de nos vies qu’elles ne finissent bien ou mal. Mon histoire quant à elle, avait débuté au fin fond d’un fjord de Scandinavie. Je suis le souvenir d’une rencontre, le fruit d’une nuit. Je porte en moi le gène divin de mes ancêtres. Comme s’il suivait le fil de mes pensées, le ciel arborait peu à peu son manteau étoilé. C’est alors que les mots d’une völva me revinrent à l’esprit :

-« Chaque aube a son crépuscule et chaque crépuscule a son aube… »

Ha bha merci beaucoup J'avoue que c'est le premier texte que je réécris depuis le début de ma grossesse.

Et bien la grossesse ne retire rien a ton talent de toujours chère Vanädis et qu'elle Spoîler .. PUNAISE !!! Adieu les belles retrouvailles et la fin heureuse que l'on espérait toutes et tous ... mais qu'elle combat cela doit être dans ta tête. J'imagine le champs de bataille digne d'un opus du seigneur des anneaux.J'ai adoré, proprement et simplement. Et le faite de l'écrire entre deux heures de pause le rend certainement plus brute et vivant que si il avait été relus a plusieurs reprise et retraité dans les phrases.
Merci pour ce beau moment
Bisou au bedon

ha oui effectivement y'avait un beau spoildage ! On peut dire adieu au jolie retrouvailles . Pourtant cette scéne me donne encore plus envie de lire ce qui va se passer dans ce qui se déroule avant. Envie de lire tous ces moments que j'ai pas encore rencontrés.

Ha bha merci bien encore une fois ! Toutes les histoires ne peuvent pas toutes se finir avec un happy end et puis comme je le dis à la fin Chaque crépuscule a son aube