Accueil
Dernières images
Rechercher
S'enregistrer
ConnexionDéfis pour Dangerous Sweetness par Mopheus !
2 participants
Page 1 sur 1
Défis pour Dangerous Sweetness par Mopheus !
Invité Ven 8 Aoû - 17:30
Je dois écrire un texte sur ma vie d'dulte en temps qu'espionne ^^.
A venir prochainement quand j'aurais un peu de temps ^^
A venir prochainement quand j'aurais un peu de temps ^^
Invité- Invité
Re: Défis pour Dangerous Sweetness par Mopheus !
Morpheus Ven 8 Aoû - 17:44
Ah oui c'est vrais 
Oui on attend ça avec impatience miss
Oui on attend ça avec impatience miss
Morpheus- Admin-La Mort
- Nombre de messages : 403
Localisation : Dans les Lymbes
Emploi/loisirs : Agent secret du blog MorpheusA00
Date d'inscription : 25/07/2008 -
Re: Défis pour Dangerous Sweetness par Mopheus !
Invité Dim 10 Aoû - 21:02
Et voilà j'ai réussi a trouvé le temps de retranscrire tout ça ^^
Christa
Des airs d'opéra retentirent dans la pièce, remplissant mes oreilles de ce son désagréablement dérangeant. Les sons se répercutaient sur les parois de mon crâne, résonnant, comme ci celui-ci était complètement vide. Mes souvenirs étaient flous, je sentais à peine mon corps. J'étais apparemment allongé sur le dos. Le peu de sensation que j'avais n'étaient pas vraiment agréable...Le bout de mes doigts me picotaient, mes paupières étaient infiniment lourdes et mon corps était complètement mou et engourdi. Quand j'essayais de bouger la main droite, quelque chose la retenait, je renouvelais l'expérience avec ma main gauche, mes pieds, mêmes résultats, j'étais pieds et poings liés. De dépit je tapais - vraiment pas fort - ma tête contre la fraicheur de l'acier.
- Aïe !
Une vive douleur finit de m'éveillé complètement, ma léthargie protectrice s'envola malheureusement avec. Je secouais la tête pour remettre de l'ordre dans mes idées. Fausse bonne idée. La douleur revint, encore plus douloureuse qu'auparavant. Je me crispais. Mon corps était tendu comme un arc et mes poings serrés.
- Chef ! Elle se réveille !
- J'ai vu, j'ai vu Sanders. Docteur...
Quelqu'un tapota sur un objet en plastique et s'approcha de moi. Un profond sentiment de malaise me vint comme une vague, la conversation qui avait eu lieu quelques secondes plutôt ne m'inspirais rien de bon...J'essayais d'ouvrir les yeux pour voir ce qui se passait autour de moi, mais ma vue était trouble...Les images qui se déversaient à mes yeux éblouis allaient trop vite pour moi, elles étaient floues, tanguaient, se dédoublaient....Le visage de plusieurs hommes, d'une femme, un des hommes était plus près que les autres, peut être même à porter de mains si je n'avais pas été attaché ! Et du blanc ! Beaucoup trop de blanc ! Sa en devenait éblouissant.
- Allez ! Injecte-lui avant qu'elle se réveille !
On passa un coton imbibé d'alcool, que je devinais rapidement à cause de la texture et de l'odeur, puis on me piqua avec ce que j'identifiais comme une aiguille, je la sentais parfaitement passée à travers ma peau et s'enfoncée dans mon bras. Un feu liquide se dispersa peu à peu dans mon corps. Le liquide que l'on m'avait injecté était surement un somnifère...toujours est il que quelques minutes plus tard je sombrais une fois de plus dans les affres de mon subconscient. Je distinguais cependant plusieurs "étages" dans mon inconscience, du plus avancé au moins important.
Je me retrouvais de nouveau dans mon brouillard épais. Quand je passais au réveil je n'en étais pas étonné. Pendant mon sommeil on m'avait changé de place et de position. J'étais maintenant assise sur une chaise grinçante à quatre pieds (bizarre vous ne trouvez pas ?). J'avais toujours mal à la tête mais maintenant d'autres douleurs s'y étaient ajoutées. Mon cou me faisait affreusement souffrir, j'étais dans une position qui ne pouvait de toutes façon que l'accentuée. Mes poignés et chevilles étaient aussi douloureux, mes liens étaient trop serrés et m'écorchaient la peau. Je relevais la tête, je faisais craquer mon cou et la chaise à chaque mouvement, j'ouvrais les yeux sur l'endroit ou je me trouvais. Une cave, un grenier, un hôpital, un immeuble abandonné, bref. Un endroit complètement délabré et attaqué par l'humidité mais qui avait pour particularité d'être blanc ou couleur acier du sol au plafond. Quatre personnes se trouvaient dans la même pièce, deux hommes plutôt balaises jouaient aux cartes sur une table à quelques mètres de moi. L'un des deux portait un pistolet 35milimètre à la ceinture, l'autre avait un fusil de chasse aux pieds. Sur mon extrême droite se trouvait deux personnes cachés par un paravent, on ne voyait que les ombres de ces personnes, l'une était grande et plutôt bien musclé et l'autre était plus petite et fluette que l'autre mais avec des formes un peu plus prononcés. Un homme et une femme.
Dans ma tête j'échafaudais déjà un plan d'évasion. Il fallait d'abord que je neutralise les deux costaud, en commençant par le moins balaise, celui avec le fusil de chasse, je l’assommerais avec la chaise sur laquelle je suis assise, puis se sera au tour de son coéquipier et enfin les deux derrière le paravent.
Par chance, ils ne m’avaient pas changé de vêtements et j’avais mon couteau d’urgence dans la poche arrière de mon jean. Mes mains étaient attachées dans mon dos, rien d’original, mes pieds étaient attachés aux pieds de la chaise sur laquelle j’étais assise. Donc trois liens a coupé. Il fallait que je fasse preuve de rapidité. Mes mains avaient déjà saisi mon couteau et coupait le premier lien qui entourait mes poignés. Des yeux je surveillais les deux joueurs de cartes et le paravent. Quand je m’attaquais au lien qui maintenait mon pied gauche, le volume monta derrière le paravent. La femme gifla l’homme et sortit furibonde. Quand elle me vit, elle me lança un regard haineux, elle interpella les deux joueurs de cartes qui me maintinrent assise de force. J’avais eu le temps de couper deux de mes liens sur trois. Je balançais un coup de pied au visage celui qui me tenait et enfonçais mon couteau dans la main du deuxième. Je coupais mon dernier lien. La femme me regarda haineuse.
- Eh bien Christa tu n’as pas perdue…
- De 1 je ne sais pas qui est cette Christa dont vous parlez et de 2 non je n’ai pas perdue !
- Jared !
Un homme sortit de derrière le paravent. Surement celui qui s’était pris une gifle, il avait encore la joue rouge. Il me rappelait vraiment quelqu’un…
- Christa lâche ce couteau !
- Je ne m’appelle pas Christa !!! Et pourquoi je ferais ça ?!
- Ah et comment tu t’appelle alors ? Et de toute façon lâche-le !
- Non !
J’attrapais la femme et la retournais pour la mettre dos à moi, je mettais le couteau contre sa gorge.
- Montre-moi la sortie !
La femme se montra coopérative à mon grand plaisir.
- Agent Christa Donovan !
- Quoi ?!
[pas finis ! Il me reste la fin a retranscrire ! Voilà Bisous !]
Christa
Des airs d'opéra retentirent dans la pièce, remplissant mes oreilles de ce son désagréablement dérangeant. Les sons se répercutaient sur les parois de mon crâne, résonnant, comme ci celui-ci était complètement vide. Mes souvenirs étaient flous, je sentais à peine mon corps. J'étais apparemment allongé sur le dos. Le peu de sensation que j'avais n'étaient pas vraiment agréable...Le bout de mes doigts me picotaient, mes paupières étaient infiniment lourdes et mon corps était complètement mou et engourdi. Quand j'essayais de bouger la main droite, quelque chose la retenait, je renouvelais l'expérience avec ma main gauche, mes pieds, mêmes résultats, j'étais pieds et poings liés. De dépit je tapais - vraiment pas fort - ma tête contre la fraicheur de l'acier.
- Aïe !
Une vive douleur finit de m'éveillé complètement, ma léthargie protectrice s'envola malheureusement avec. Je secouais la tête pour remettre de l'ordre dans mes idées. Fausse bonne idée. La douleur revint, encore plus douloureuse qu'auparavant. Je me crispais. Mon corps était tendu comme un arc et mes poings serrés.
- Chef ! Elle se réveille !
- J'ai vu, j'ai vu Sanders. Docteur...
Quelqu'un tapota sur un objet en plastique et s'approcha de moi. Un profond sentiment de malaise me vint comme une vague, la conversation qui avait eu lieu quelques secondes plutôt ne m'inspirais rien de bon...J'essayais d'ouvrir les yeux pour voir ce qui se passait autour de moi, mais ma vue était trouble...Les images qui se déversaient à mes yeux éblouis allaient trop vite pour moi, elles étaient floues, tanguaient, se dédoublaient....Le visage de plusieurs hommes, d'une femme, un des hommes était plus près que les autres, peut être même à porter de mains si je n'avais pas été attaché ! Et du blanc ! Beaucoup trop de blanc ! Sa en devenait éblouissant.
- Allez ! Injecte-lui avant qu'elle se réveille !
On passa un coton imbibé d'alcool, que je devinais rapidement à cause de la texture et de l'odeur, puis on me piqua avec ce que j'identifiais comme une aiguille, je la sentais parfaitement passée à travers ma peau et s'enfoncée dans mon bras. Un feu liquide se dispersa peu à peu dans mon corps. Le liquide que l'on m'avait injecté était surement un somnifère...toujours est il que quelques minutes plus tard je sombrais une fois de plus dans les affres de mon subconscient. Je distinguais cependant plusieurs "étages" dans mon inconscience, du plus avancé au moins important.
Je me retrouvais de nouveau dans mon brouillard épais. Quand je passais au réveil je n'en étais pas étonné. Pendant mon sommeil on m'avait changé de place et de position. J'étais maintenant assise sur une chaise grinçante à quatre pieds (bizarre vous ne trouvez pas ?). J'avais toujours mal à la tête mais maintenant d'autres douleurs s'y étaient ajoutées. Mon cou me faisait affreusement souffrir, j'étais dans une position qui ne pouvait de toutes façon que l'accentuée. Mes poignés et chevilles étaient aussi douloureux, mes liens étaient trop serrés et m'écorchaient la peau. Je relevais la tête, je faisais craquer mon cou et la chaise à chaque mouvement, j'ouvrais les yeux sur l'endroit ou je me trouvais. Une cave, un grenier, un hôpital, un immeuble abandonné, bref. Un endroit complètement délabré et attaqué par l'humidité mais qui avait pour particularité d'être blanc ou couleur acier du sol au plafond. Quatre personnes se trouvaient dans la même pièce, deux hommes plutôt balaises jouaient aux cartes sur une table à quelques mètres de moi. L'un des deux portait un pistolet 35milimètre à la ceinture, l'autre avait un fusil de chasse aux pieds. Sur mon extrême droite se trouvait deux personnes cachés par un paravent, on ne voyait que les ombres de ces personnes, l'une était grande et plutôt bien musclé et l'autre était plus petite et fluette que l'autre mais avec des formes un peu plus prononcés. Un homme et une femme.
Dans ma tête j'échafaudais déjà un plan d'évasion. Il fallait d'abord que je neutralise les deux costaud, en commençant par le moins balaise, celui avec le fusil de chasse, je l’assommerais avec la chaise sur laquelle je suis assise, puis se sera au tour de son coéquipier et enfin les deux derrière le paravent.
Par chance, ils ne m’avaient pas changé de vêtements et j’avais mon couteau d’urgence dans la poche arrière de mon jean. Mes mains étaient attachées dans mon dos, rien d’original, mes pieds étaient attachés aux pieds de la chaise sur laquelle j’étais assise. Donc trois liens a coupé. Il fallait que je fasse preuve de rapidité. Mes mains avaient déjà saisi mon couteau et coupait le premier lien qui entourait mes poignés. Des yeux je surveillais les deux joueurs de cartes et le paravent. Quand je m’attaquais au lien qui maintenait mon pied gauche, le volume monta derrière le paravent. La femme gifla l’homme et sortit furibonde. Quand elle me vit, elle me lança un regard haineux, elle interpella les deux joueurs de cartes qui me maintinrent assise de force. J’avais eu le temps de couper deux de mes liens sur trois. Je balançais un coup de pied au visage celui qui me tenait et enfonçais mon couteau dans la main du deuxième. Je coupais mon dernier lien. La femme me regarda haineuse.
- Eh bien Christa tu n’as pas perdue…
- De 1 je ne sais pas qui est cette Christa dont vous parlez et de 2 non je n’ai pas perdue !
- Jared !
Un homme sortit de derrière le paravent. Surement celui qui s’était pris une gifle, il avait encore la joue rouge. Il me rappelait vraiment quelqu’un…
- Christa lâche ce couteau !
- Je ne m’appelle pas Christa !!! Et pourquoi je ferais ça ?!
- Ah et comment tu t’appelle alors ? Et de toute façon lâche-le !
- Non !
J’attrapais la femme et la retournais pour la mettre dos à moi, je mettais le couteau contre sa gorge.
- Montre-moi la sortie !
La femme se montra coopérative à mon grand plaisir.
- Agent Christa Donovan !
- Quoi ?!
[pas finis ! Il me reste la fin a retranscrire ! Voilà Bisous !]
Invité- Invité
Re: Défis pour Dangerous Sweetness par Mopheus !
~ Chat Noir ~ Mar 12 Aoû - 21:47
j'attends la suite t'entend !!!!! je veux la suite !!!! trop bien, nan mais où est-ce que vous trouvez des idée pareilles franchement ... ? bref ... quelques faute d'orthographes que j'ai vus, mais pas retenue dsl ...
~ Chat Noir ~- Feuille de papier
-
Nombre de messages : 257
Age : 33
Localisation : ... en Enfer ...
Emploi/loisirs : ... être moi ...
Humeur : ...
Date d'inscription : 27/07/2008 -
Sujets similairesPage 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum|
|
|