1er RPG de la semaine fantomatique

**Morpheus** Mar 19 Aoû - 20:31

Voici un petit scénario à vous d'écrire la suite, et par rapport à ça quelqu'un d'autre continuera derrière vous. ce serais comme un relais...

le scénario : Dans un village, deux jeunes garçons en quête d'aventure jouent aux chevaliers dans les bois environnants. Un jour le frère d'un des garçons leur parle d'une légende et du château qui domine le village. Le château serait-il hanté ? les deux jeune garçon en doute fort et pour contre-carré les dires du grand frère décide d'aller visiter la bâtisse. ils rentrent mais ne ressorte pas... ils n'ont dit à personnes où ils allaient...

Voilà à vous d'écrire la suite ! Very Happy

Floralia Mar 19 Aoû - 22:10

Les gamins du villages évoluent de façon relativement indépendante... Mais au bout de trois jours sans nouvelles, les parents commencèrent à s'inquiéter.
Ils se rendirent donc chez le chef du village, pour lui demander conseil. Les disparitions d'enfants n'étaient pas rares. La plupart des disparus étaient retrouvés morts : gelés, noyés, écrasés par un arbre ou tués par des bêtes.
Mais bon, c'était la saison sèche, et chaude, il n'y avait pas eu d'orage et aucune bête féroce n'avait été signalé dans les environs... Restait le château.
Personne n'osait jamais aller voir, et probablement que les cadavres de certains disparus jamais retrouvés y pourrissaient...

Hilly Mer 20 Aoû - 1:44

Dans la journée qui suivit le signalement de la disparition des deux enfants, celui qui leurs avait raconter la légende, le frère de l'un d'eux compris que c'était de sa faute, et décida, malgré la peur qu'il avait, d'aller voir dans le château ce qu'il se passait.
Il demanda aux villageois de l'accompagner, seul le fils du chef de village partit avec lui.
Les deux jeunes hommes se dirigèrent devant le château dis "hanté". Les battements de leurs cœur se faisaient sans cesse plus fort, une pince leur tenaillait l'estomac, ils avaient la bouche sec et la voix rauque : En court, ils avaient peur.
La disparition des deux enfants prouvait qu'il y avait quelque chose de pas net dans ce château. Poussé par la stupidité et le courage, ils ouvrirent la porte, retenant leurs souffles.

Invité Mer 20 Aoû - 18:38

Ils pénètrèrent dans le château. Alors qu'ils avançaient vers le centre de la pièce, les portes se refermèrent dans un grand bruit. Les deux garçons tremblant de peur étaient maintenant dans le noir. L'un d'eux sortis une bougie et l'alluma. A la petite lumière on ne voyait pas grand chose, à peine les alentours, et encore les coins de la grandes pièces étaient sombres et invisible aux yeux des deux garçons.
Devant eux, se trouvait un escalier immense qui montait à l'étage. De l'étage on voyait qu'il se séparait en deux escaliers qui partaient de chaque côté de la grande porte au premier étage. A leurs droite se trouvait une porte de chène fermer à l'aide d'une chaine et d'un énorme cadna et sur leur gauche, il y avait une ouverture sans porte d'ou s'échappait un souffle froid et amère. Les pierres saillantes aux murs n'ajoutaient rien à la chaleur de la pièce. Seul le souffle frais qui s'échappait de l'ouverture sombre et profonde amenait de l'air. Aucune fenêtre. Soudain un cri strident s'échappa de l'ouverture....

**Tlina** Lun 25 Aoû - 17:08

Le cri se répercutait partout dans le vieux château, semblait tomber du plafond ou surgir des murs, comme si c'était le coeur même des pierres qui criait, dans un râle d'agonie... Les deux garçons plaquèrent leurs mains sur leurs oreilles et se ratatinèrent à terre dans un repli d'horreur.
Quand le cri se tut enfin, ils se levèrent lentement. Le fils du chef du village voulait fuir au plus vite ce château maudit mais le frère du disparu le retint. Ce cri venait de l'ouverture sombre : il était de leur devoir d'y jeter n'y serait-ce qu'un coup d'oeil. Et si l'un des disparus se trouvait là, et qu'il était blessé, ou mourant ? S'ils l'abandonnaient maintenant, ils porteraient toute leur vie cette culpabilité. Et qui sait si son fantôme ne viendrait pas les hanter...
Convaincu à la longue par ce discours, le fils du chef accepta de s'approcher, quoique avec répugnance, de la béance noire. Un souffle des profondeurs lui glaça le visage. Il continua malgré tout d'approcher, passa le seuil et... s'enfonça d'un coup, comme happé par l'abîme, dans les ténèbres.

Nellia Lun 25 Aoû - 17:47

La première chose qu'il sentirent fut le froid intense. Il se frayait un chemin dans leur veines, gelait leurs membres et paralysait leurs muscles. Ensuite, ce fut le noir qui les frappa, comme un couperet. Un noir épais, total, qui sapait leur volonté et instillait une peur traîtresse dans leurs esprit. Enfin, le silence. Oppressant. Ils ne sentaient la présence de l'autre que par le contact de leurs corps contre le sol glacé. Nul respiration. Nul battement de coeur. Etaient-ils morts? une étrange intuition leur soufflait que non. une intuition qui, petit à petit, revêtit la forme d'une sinistre et pesante présence. Ils n'étaient pas seuls dans les ténèbres...

Saliar Mar 26 Aoû - 0:50

Blottit l'un contre l'autre, ils s'avancèrent toutefois alors que leur jambes les suppliaient de demi-tour et que leur cœur battait si fort, qu'il semblait être déjà sortit de leur poitrine, prêt a tombé au sol pour être piétiné par leur propre pied.
Un souffle échangé avec l'air glacial ; une respiration sifflotante les clouèrent sur place et la mort elle même se mit en travers de leur chemin. Sans voix, transit de peur, les deux garçons restèrent pétrifié. En voyant cette masse décharné, vêtu d'un manteau sale qui recouvrait toute l'horreur que devait être son corps, l'un comme l'autre les jeunes gens prié déjà le ciel de prendre leur âme.
C'est alors que des supplications ce firent entendre tout autour d'eux, comme pour accueillir ou suivre d'une procession macabre, l'obscure serviteur du mal ; pas une once de poussière ne paraissait pas être habité par la terreur qu'occasionnait cet inconnu. Quant ils regardèrent de nouveau face à eux. La silhouette menaçante avait fait place à une créature enchanteresse. Une femme si belle qu'ils ne pouvait exister plus merveilleuse vision céleste que celle ci.
De sa longue robe de pourpre, elle s'approcha, tendit sa main gracile ou s'emmêlait des cheveux or et mu d'une vie propre et prononça ces mots s'en ouvrir sa bouche rose.
- Partez ! Son repas est fait ! Partez ou mon seigneur, de vos os se nourrira.

little-me Jeu 28 Aoû - 11:16

Ces paroles firent trembler les deux jeunes hommes et à ce moment-là, leur plus grand souhait fut de s'enfuir à toutes jambes, de s'en aller loin de ce château maudit et du monstre qui l'habitait. Mais ils en étaient incapables ...

Une fois leur regard tombé sur le visage de cette femme, il ne pouvait plus s'en détacher. Ils ne pouvaient quitter des yeux son visage rayonnant, ses yeux azurs, plus bleus que le ciel d'été, son nez fin, ses joues légérement rebondies, ses lèvres roses et douces comme une sucrerie, ses longs cheveux dorés ... Ils étaiens subjugés, incapable de fuir, leur cerveau ne fonctionnait plus, leurs jambes refusaient de bouger ...

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