Défi Fantomatique

Bon ... j'ai un peux de temps donc j'en profite pour relever le " Défi fantomatique" :

la suite ! la suite !

Wa... Mets vite la suite! C'est génial...

Voila j'ai fini mon texte pour le défi ... j'espère que d'autres le feront aussi

Joli =)
Mais, reprends moi si je me trompes, c'est un vampire n'est ce pas?
Sinon, l'écriture légère mais dure à la fois en jette. T'as mis tout ton talent dans se texte on dirait =)

oui c'est bien une vampire ! bravo Hilly

Sinon, l'écriture légère mais dure à la fois en jette. T'as mis tout ton talent dans se texte on dirait =)

Merci beaucoup ... mais je dois dire que toute l'étendue de mon talent n'est pas spécialement exploitée dans ce texte.

Tu ne m'en veux pas si je soulève un léger point de ta personnalité?
Vantarde
Mais t'as le droit

Hiiii c'est beau !!!! Et vraiment bien écrit ! Tu as réussi le défis !

PS : Kitsune comment tu fais pour centrer ta signature moi j'y arrive pas

Non c'est pas le problème d'être vantarde où pas ... c'est que le texte est à mon gout un peu court pour juger de l'étendu de mon talent ...

vantarde ou modeste alors ? ^^

PS : Kitsune comment tu fais pour centrer ta signature moi j'y arrive pas

T'inquiète, je plaisantais =)

Frêle silhouette invisible dévorant la nuit de ses yeux morts, je me tenais là, immobile, comme maintes fois au paravent. Le silence du sommeil enfermait le monde de son étreinte invisible, d’où se détachait le faible bruissement de la chaine qui m’emprisonnait dans ce monde que j’avais pourtant quitté. Hantant le dernière endroit qu’il m’avait été donné de voir, avant que la mort m’embrasse de son froid baiser, j’attendais, que le faible semblant de vie qui me retenais là s’évapore. Mais s’était impossible. Mon ancienne maison était vide, percé par le râle du vent à travers les fenêtres cassées.
Une nouvelle atmosphère s’installa, me coupant dans mes rêveries morbides mais habituelles. Quelqu’un était entré.
Flottant par dessus les parquet délabrés et les carrelages craquelés, traversant tapisseries aux étoffes défraichis et en lambeaux, jusqu’aux mures teintés de papiers peints décolorés et vieillots, glissant sobrement sur la rampe fissuré et fragilisé du majestueux escalier de marbres maintenant oublier, j’arrivai dans le halle d’entré, cherchant les intrus de mes yeux, morts avec ma vie.
Un jeune homme et une fillette téméraires venaient d’entrer dans ma demeure ternie par les années. Une lueur d’exaltation brillait dans les yeux émeraudes de la fillette que la longue chevelure brune, parsemée de boucles argentés, faisait ressortir. La pâleur de sa peau aurait pu être comparer à la mienne, si l’enveloppe charnelle qui m’avait servit jusqu’alors n’était pas en état de composition avancé. Le garçons qui se tenait à ses cotés semblait moins sure de lui. Ses pupilles grisâtres rétractés par l’obscurité scrutaient désespérément les alentours, le visage figé dans une mimique d’affolement : La victime parfaite.
Décidant de relevé le défi de la fillette, dans un claquement de doigts silencieux, la porte d’entré se referma dans un grondement d’apocalypse. Les deux intrus sursautèrent. Je me dirigeai ensuite vers le haut du lustre de l’entrée, autrefois support d’une cascade de diamants lumineux. Le lustre tomba d’une traite, et atterrit aux pieds des deux téméraires. Le jeune homme poussa un hurlement de frayeur qui m’arracha un sourire meurtrier. La nuit promettait d’être longue pour les deux invités surprises de ma maison hantée.
La fillette entraina son compagnon vers l'escalier de marbre blanc. Passant devant les portraits écaillés de mes ancêtres à qui je commandais de rouler les yeux. La fillette ne sembla rien remarqué, mais le garçon, à en juger par ses petits couinements apeurés, aurait préféré être ailleurs.
Le parquet lançant des plaintes de protestation au passage des deux intrus, la fillette tiqua et passa sous l'arche d'une porte ballante, pendant sur ses gonds, suivit de son comparse. La porte se referma à leur passage, les enfermant dans se qui avait été mon salon. Les meubles poussiéreux semblaient leurs rire au nez alors que les deux téméraires tremblaient de la tête aux pieds. Ils ignoraient encore la surprise que je leur réservais. La fillette contourna le canapé mangé au mites, ses semelles collant au parquet, pataugeant dans le sang séché. Elle tomba nez à nez avec le cadavre de ma pauvre sœur et poussa un glapissement aigüe, j'avais réussi. Ajoutant une pointe de mélodramatique au tableau, je fis exploser la fenêtre et traversa le garçon qui passait à travers l'entre béante. La fillette poussa un réelle hurlement de frayeur, des éclats de verres se fichant dans sa peau pâle, et maintenant couverte d'un liquide rougeâtre. Elle voyait maintenant son agresseur. Le teint blanchâtre de ma peau et mes yeux rouges, lugubres, enleva irrémédiablement toute trace de courage dans ses pupilles émeraudes. Je passa à travers son corps, lui volant ainsi son âme, le fruit de mon dure labeur. Mes jouets morts tout les deux, mon corps sans consistance rassasié, j'espérai secrètement que le destin m'enverrais d'autres joujoux, rendant cette punition éternelle plus agréable. Mon rire froid et diabolique retentit dans la maison à présent vide.
Quelle belle nuit.


P-S : Désoler pour les fautes

Moi j'aime beaucoup, et si tu as fait des fautes, je les ais pas vu ... mais bon je suis pas un modèle non plus ...
Kitsune : comme d'hab, c'est génial ... mais dis, ce serait le monde de l'être et du paraître plutôt que le monde du être et du paraître ?

Je m'y attaque aussi, en totale impro ...




Je le lui avais pourtant dis de ne pas venir. La nuit, et cette nuit là en particulier, je suis dangereux, je l'avais pourtant supplié, me mettant à genoux devant elle, j'ai fait tout et n'importe quoi pour qu'elle ne vienne pas, je l'ai même attachée au montant d'ébène de notre lit, pour qu'elle ne vienne pas ... Et elle est venue ... J'aurais tout donné, ma vie, mon âme, mon corps, mon esprit, ma fortune, tout, pour qu'elle ne vienne pas. Et elle est venue.

C'était durant l'une de ses nuits d'été, où les étoiles sont infiniment proches, lointaines, nombreuses. Une de ces nuits où la lune semble portée la vie et la vomir sur la terre par ses rayons. Une de ces nuits claires et joyeuses, où on a envie de faire la fête jusqu'à l'aube. Une de ces nuits où la mer se confond avec le ciel. Je m'étais réfugié le plus loin possible de notre manoir, je suis allé si loin, que la forêt me sembla familière, même si elle m'appartenait, je n'étais encore jamais aller là bas, il y a de hautes falaises, c'est dangereux, ça glisse. Le bruit des vagues se fracassant contre la craie en contrebas rythmait mes pas précipités. Comme j'aurais voulu sauté plutôt que de faire ce que j'allais faire plus tard dans les méandres de ma sauvagerie intérieure.

Cela commença, comme d'habitude, par un puissant hurlement à en déchirer les tympans de ces êtres mortels qui peuplent cette planète de fous. Puis une à une, mes articulations craquèrent comme je n'aime pas, elles se retournèrent, mes os s'allongèrent, mes muscles se renforcèrent. De mon misérable mètre soixante dix, j'atteins les deux mètres facilement, de mes misérables soixante kilos, mon poids doubla. Une épaisse fourrure charbonneuse me recouvrit, les vêtements riches furent mis en lambeau. Du riche noble que j'étais, il ne restait plus que l'animal sauvage et affamé.

Un nouveau hurlement me secoua, la bête saluait de tout son coeur indompté sa seule maîtresse, la lune ronde et pleine déversant ses maudits rayons. La bête se mit alors en chasse, n'attendant nullement une réponse quelconque qui ne viendrait de toute manière jamais. Je ne sais combien de kilomètres elle parcouru dans la lande anglaise, quoiqu'il en soit, je vis bientôt au travers l'oeil bestial le manoir que j'avais abandonné plus tôt dans la soirée. Je ne savais ce que guettait la bête, mais plus aucun doute n'était possible quand je la vit. Elle. Elle sortait à pas feutrés du manoir, se massant légèrement les poignets.

Elle s'enfonça prudemment dans le jardin, qu'elle parcouru rapidement. Elle était à la lisière du bois quand la bête se mit en marche vers elle. Mon petit esprit d'humain s'agita alors, hurlant à l'animal de ne pas la toucher, criant désespérément à la bête de ne pas lui faire de mal, luttant vainement contre son désir de chair fraiche. Je lui promettais monts et merveilles humaines, n'importe quoi en échange de sa vie. Mais rien n'y faisait, la bête m'entrainait avec elle dans sa folie meurtrière. Je voulais hurler, lui hurler de s'en aller, de ne pas rester là, que je ne maîtrisait rien, qu'elle ne pouvait rien faire pour moi, mais ce ne fut pas ma bouche qui s'ouvrit. Ce fut celle du monstre que j'avais en moi qui le fit pour moi.

Le hurlement que la bête ne put s'empêcher d'émettre à quelques mètres de la jeune femme, la fit se retourner violemment vers nous. Il me sembla que l'animal sourit, si tant est qu'il pouvait. Il se jeta alors sur elle, qui se retint difficilement d'hurler de terreur. Elle brandit une fiole dans laquelle brillait un étrange liquide argenté. De l'argent ? je ne le saurais jamais, elle ne pourra jamais me le dire. Quoi que ce fut, la bête recula, comme apeuré. Le liquide brillait au clair de lune.

- Josh ? Josh !!! je sais que tu m'entends, je sais que tu peux lutter contre elle ... Josh, pour moi !!! Pour nous ... nous qui allons devenir trois ... Josh ... fais le pour nous ... supplia-t-elle.

Oui, je l'entendais, et que trop bien. J'allais être père. J'allais être meurtrier. La lune voila soudain ses rayons derrière un nuage, comme si elle en voulait pas assisté à la scène. Je voulais l'embrasser, lui dire à quel point je l'aimais, et que j'avais hâte de voir la vie qu'elle portait en elle, la vie que nous avions créée ensemble. Notre vie, à nous. Mais j'oubliais trop vite que le seul baiser que j'avais à ce moment à lui proposer fut l'horrible morsure de mes crocs acérés dans sa chair blafarde, faisant gicler son sang si rouge dans ce monde en noir et blanc trempé de la pluie ou de mes larmes, quelle différence de toute façon ?


j'ai une autre idée plus joyeuse ... en fait c'est la même version, en beaucoup plus joyeuse ... mais bon ... je sais pas, si vous la voulez je vous la met ... mais j'ai la flemme de le faire là maintenant toute suite ...
au fait, ça vous a plus au moins ?

Moi sa me plait ! Tu as une écriture un peu mélancolique (je suis peut être la seule à le pensé) très belle et tes textes sont bien écrit !
Tu es donc la troisième personne a avoir réussi ce défis ^^

merci ^^

Derien je ne fais que dire ce que je pense ^^

Moi aussi ton texte me plait ^^
T'étais pas énervé quand tu as écrit ce texte?
Parce que j'ai l'impression!
Mais après c'est peut être moi qui suis en manque de sommeil...

nan pas spécialement ... enfin si peut-être un peu ... si je l'étais, je me suis calmée xD
ravie qu'il vous plaise en tout cas ^^

Je sais que c'est un peu tard mais bon j'ai toujours été un peu décalé dans la plupart des sujets comparé aux autres alors c'est pas maintenant que ça va changer

Numéro 12

Je coure sur les trottoirs de mon village. Mes pieds se blessent à chaque pas, écorchant un peu plus ma peau sale. Mon souffle court et saccadé rythme ma course désespérée. Je sais bien que ça ne sert à rien mais je tente mon coup, comme à chaque fois. Je tourne au premier coin de la ruelle. « Ils » crient derrière mon dos. Je ne me retourne pas, je connais déjà ce qu’ « ils » veulent me dire, ce qu’ « ils » veulent me faire. Je sens battre en moi mon cœur fragile. Un sourire s’étire sur mes lèvres qui laissent à peine passer l’air raréfié des parages. Mes yeux cherchent en vain un point d’attache. Le temps me rattrape dangereusement. Je dois arriver au château, c’est mon seul et unique but, je comprends, tout de même, qu’il est surréaliste. Au loin, j’aperçois les montagnes enneigées que je ne pourrais atteindre un jour. Soudain, le soleil n’émet plus ses rayons. L’obscurité commence à régner en maître. Je ne me laisse pas surprendre par cette vieille amie. Leurs hurlements ne me veulent pas me lâcher. Mes oreilles me font souffrir. Je ne dois pas craquer, continuer, aller jusqu’à la fin, jusqu’au bout. J’observe à la dérobée les maisonnettes qui défilent devant mes pupilles écarlates. Je trébuche un peu plus maladroitement que d’habitude. Je tombe lourdement au sol. Les mains rentrent en contact violement avec les pierres irrégulières. Mon épiderme s’écorche et se déchire derrière le passage des facettes tranchantes des minéraux. Je dois me relever, même si c’est la dernière fois ! J’essaie de m’appuyer sur ma jambe droite en m’aidant de la force de mes bras. Je rechute. La fatigue a malheureusement accédé à mon corps et mon esprit. Je suis tiraillé par l’envie de me laisser emporter par le sommeil éternel et par le besoin de continuer ma course vaine. Derrière moi, je « les » entends hurlé mon code : « Numéro 12 »… Comme tout les autres, ils ont fini par même oublié mon prénom… Je n’ai plus le courage d’avancer… Je crois que je vais m’accorder une petite pause… juste pour me reposer…

- Dis-moi au revoir.
- Pas maintenant.

Le quai est désert, en ce mois de Novembre sombre et pluvieux. Les perles cristallines s'échouent à mes pieds tandis que je résiste pour que mes larmes n'aillent les rejoindre. Ce goût amer du passé, resté en travers de la gorge comme une lance, et dont je sens encore la douleur m'étreindre, ne s'estompe pas.
- Pourquoi ?
- C'est ainsi, me répond-il.
- Tu n'as même pas pensé à moi. Tu l'as fait, sans même t'inquiéter de ce que cela m'en coûterait.
- Oui, je l'ai fait. Et j'en suis désolé.

Les railles vibrent subitement. Le train arrive furtivement dans la faible pénombre qui s'installe. Je ne sens même plus les jointures de mes mains frigorifiées et rougeoyantes. Seule la nuée qui s'extirpe de ma bouche dans l'air glacial, me rappelle que j'existe. Je ne le regarde pas. A quoi bon puisqu'il va me quitter ? Encore une fois.
- C'est l'heure.
- Pas encore.
- Ca ne sert à rien de me haïr. Vis ta vie, Anna, et ne te soucie plus de moi.
- Tu es tellement égoïste qu'il ne te vient même pas à l'idée que je tiens à toi ! hurlai-je. Comment veux-tu que je vive ma vie alors qu'elle se résumait, oserais-je le dire, à toi. Tu en étais devenu le centre, et je gravitais telle une étoile autour, avec la certitude qu'il en serait toujours ainsi. Et puis, voilà...Tu m'abandonnes. Encore une fois.
- Je serais touj...
- Tais-toi ! Épargnes-moi tes illustres discours sur ta soi-disant présence qui me suivra toute ma vie. Tu as mis fin à celle-ci: assumes donc ! Mais ne me condamne pas à rester seule. Je ne mérite pas ça, bien que tu me l'ais infligé sans que je ne m'y attende. Je ne le mérite pas.
- Je sais.
- Tu ne le sais que trop tard.

Le bruit mécanique, le grincement des railles...Une symphonie d'adieu que la pluie rouille depuis longtemps. Combien d'amants ses railles, ce train ont-ils enlevés ? Combien de larmes se sont écoulés devant leurs passagers indifférents ? J'aimerais ne pas faire partis de ces victimes.
- Je dois partir, me souffle-t-il doucement. Regardes-moi une dernière fois au moins...
- Non.
- Anna...
- Non.

Le véhicule se rapproche. Mon coeur frappe, s'écrase contre ma poitrine sculpté dans la peur. Mon souffle se fait court. La sueur se mêle à la pluie et au vent qui fouette mon visage. Le bord est en face de moi, cette limite entre la terre et le vide. Ce train ne s'arrêtera pas.
- Anna ? Qu'est-ce que ...? s'étonne-t-il.

Je lève mon pied, doucement, priant pour que la raison ne me rattrape pas. Un pas.
- Anna ! arrêtes ça tout de suite !

Le train se rapproche, encore, plus vite. Se joint à lui, un autre pas. Je sens le bord du quai au bout de mes pieds.
- Anna ! hurle-t-il. Recules ! Recules, merde ! Arrêtes ça !
- Tu ne peux pas m'en empêcher, pas vrai ? demandé-je en un chuchotis.
- Anna, dit-il, larmoyant; je t'en prie. Ne fais pas ça.

La lumière du véhicule m'aveugle alors que je regarde au loin. Plus que quelques secondes de patience immuable, quelques secondes de solitude...avant de le retrouver !
- Anna, ne fais pas comme moi, me supplie-t-il. Je t'en supplie.

Et puis, le silence.
Juste le souvenir de mon corps s'affalant dans un lit céleste et venteux. Je ne sens plus la pluie, ni mes cheveux humides, ni même ce goût amer. La douleur fut courte, presque inexistante, ou alors ai-je hurlé dans d'atroces souffrances ? Je ne m'en souviens plus. Mais au moins, je n'aurais plus à vivre, plus à me contenter de son fantôme.


Antoine, c'est toi ? Que la chaleur de tes bras m'a manqué.


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Cela fait longtemps que je n'avais pas écrit. Ca soulage =D

han trop beau ... O.O j'adooooooooooooore ^^

Merci Chat Noir C'est très gentil !

Désolé Kyree, je me rattrape pour te dire ce que je pense de ton texte:

Dans l'ensemble, j'aime bien sauf une phrase où j'ai tiqué
"Mon épiderme s’écorche et se déchire derrière le passage des facettes tranchantes des minéraux"
Je pense qu'au lieu de "derrière le passage", tu aurais pu mettre "au contact", mais en même temps, je me doute que tu voulais éviter la répétition avec la phrase précédente =). Après le terme "minéraux": hum...je dirais qu'il heurte le lecteur par son aspect "scientifique", enfin je l'ai ressenti comme ça, après chacun l'interprète comme il veut, mais roche aurait convenu à ton style (genre douleur, avec "écorcher" et tout =P). Pareil pour épiderme, "ma chair" aurait convenue aussi à la phrase.

Enfin, voilà juste quelques indications. Je ne suis pas la bouche de Dieu après ! xD Mais j'espère t'avoir donné un avis constructif. Enfin, dans l'ensemble, j'aime ton style d'écriture.